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Présidentielle 2022 : un second tour Macron-Le Pen «n’aura pas lieu», selon Mélenchon

Le candidat de la France insoumise estime qu’il a « une très sérieuse probabilité » de se retrouver au second tour face à Marine Le Pen.

Image d'illustration

Le scénario d’un second tour de la présidentielle entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen anticipé par les sondages « n’aura pas lieu », a assuré ce mardi le candidat LFI Jean-Luc Mélenchon.

« Ça n’aura pas lieu, ça, Macron-Le Pen », a-t-il estimé sur Sud Radio alors qu’il était interrogé sur sa consigne de vote dans un tel cas de figure.

« Je pense que j’ai une très sérieuse probabilité d’y arriver et que M. Macron ferait bien de se demander s’il est réellement certain qu’il va s’y trouver. Regardez les courbes », a-t-il ajouté.

Le candidat LFI bénéficie depuis la mi-mars d’une dynamique dans les intentions de vote qui lui permet de s’installer à la troisième place dans les sondages. Il est à 15,5 % dans un sondage Ifop Fiducial publié lundi, derrière Emmanuel Macron (27,5 %) et Marine Le Pen (22 %), qui elle aussi progresse.

Voter, le « devoir » et le « droit » des électeurs

« C’est la démocratie : le plus performant va convaincre et j’espère que ça ne sera pas trop manipulatoire la dernière semaine » de campagne, a-t-il ajouté, sans préciser son propos.

Interrogé pour savoir s’il comptait sur le ralliement d’électeurs de la candidate RN Marine Le Pen, le candidat LFI, qui sera mardi en meeting à Lille, en chair et en os, et dans onze autres villes grâce à des hologrammes, a dit vouloir convaincre les électeurs « de tous les côtés ». Il a estimé qu’aujourd’hui, il ne servait « à rien de revenir avec son joli petit collier de logos de partis » mais qu’il fallait simplement proposer des idées aux électeurs qui « acceptent vos idées ou les rejettent ».

Le candidat a dit « comprendre » les 30 % d’électeurs indécis selon les sondages, et a exhorté ceux qui envisagent de s’abstenir à aller voter, leur « devoir » et leur « droit ».

Pas de « campagne de culpabilisation »

Pour autant, Jean-Luc Mélenchon a assuré qu’il ne souhaitait pas « faire une campagne de culpabilisation » en direction de l’électorat de gauche afin de le convaincre de voter utile, dans un entretien au quotidien Libération mardi. « Les gens réfléchissent par eux-mêmes, ils s’interrogent (…). Il ne faut pas brutaliser les consciences. »

Mais « je dis juste que ceux qui s’apprêtent à voter pour les verts ou les communistes ne mettraient pas de côté leurs convictions en glissant un bulletin à mon nom », a-t-il ajouté.

Interrogé par Franceinfo pour savoir qui serait son Premier ministre s’il était élu, il a seulement répondu : « Le chef du gouvernement sera nécessairement quelqu’un qui est directement en prise avec le programme L’avenir en commun ». Il a évoqué la possibilité que « les communistes » soient associés.


(SOURCE) : leparisien.fr SOURCE / LIRE L'ARTICLE COMPLET

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