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[VIDEO] – Robert Ménard étrille Marine Le Pen face à Apolline de Malherbe : « Il faut se foutre du monde ! »

Soutien du Rassemblement national, Robert Ménard a vivement critiqué Marine Le Pen sur le plateau de RMC, pointant du doigt sa difficulté à convaincre.

Image d'illustration

Loyal jusqu'au bout à son parti, Robert Ménard a soutenu Marine Le Pen lors de la présidentielle. Avant, pendant et après la campagne, il n'a toutefois pas su taire ce qu'il considérait comme des défaillances dans le programme électoral de la représentante du Rassemblement national. Ses critiques ont soulevé des interrogations : le maire de Béziers appuie-t-il toujours la conseillère département du Pas-de-Calais ? Présent sur le plateau de RMC, lundi 9 mai, le principal intéressé a commencé son discours par une réaffirmation de son appui : "J'ai soutenu Marine Le Pen par fidélité et parce qu'en plus, il me semble, et il me semble toujours, qu'elle met le doigt sur un certain nombre de problèmes qui ne sont pas réglés." Face à Apolline de Malherbe, l'homme politique a toutefois rapidement concédé des faiblesses : "Ce ne sont pas ses solutions qui sont parvenues à convaincre nos concitoyens. Quand je l'entends dire que c'est une victoire éclatante... Il faut se foutre du monde pour dire ça. Ça s'appelle une défaite. Elle n'arrive pas à convaincre sur les réponses."

Robert Ménard reproche à Marine Le Pen un manque de mesures solides et concrètes au niveau de la politique internationale et de l'économie : "Je ne l'ai jamais caché, je le lui ai dit. Sur les questions économiques ça ne tient pas la route. Les hésitations sur l'Ukraine... Il y a des réponses qui ne sont pas convaincantes, sinon elle aurait gagné les élections."



"Aux partis de faire leurs affaires"

"Moi, pour les législatives, je vais m'occuper de Béziers. Aux partis de faire leurs affaires", avait annoncé d'entrée de jeu Robert Ménard sur le plateau, balayant d'un revers les questions quant à sa désolidarisation. Ancré à droite depuis le début des années 2010, avant d'avoir un temps vogué à gauche et un temps au centre, il était suspecté de vouloir soutenir Emmanuel Macron au second tour de l'élection, pour signifier son mécontentement envers la candidate RN.


(SOURCE) : gala.fr SOURCE / LIRE L'ARTICLE COMPLET

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