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Paris : Le centre de soins pour toxicomanes inquiètent lycéens et riverains du 16e arrondissement

Un centre d’accueil pour les toxicomanes va ouvrir dans le 16e arrondissement. « 20 Minutes » a été à la rencontre des riverains qui se déclarent pour la plupart inquiets de cette initiative menée par l’Agence régionale de santé et l’AP-HP

Image d'illustration

Alors que la présence de consommateurs de crack incommode les riverains du nord-est de Paris, la mairie tente de trouver la parade. Parmi les solutions, le désenclavement des toxicomanes via la dilution en espaçant au maximum les zones où les « crackeux » se retrouvent, achètent, consomment, et se soignent. Dans cette optique, Anne Souyris, adjointe d' Anne Hidalgo en charge de la santé publique, a annoncé le 18 mai l’ouverture d’un centre d’accueil pour toxicomanes dans le 16e arrondissement.

« Une très bonne nouvelle », selon la municipalité. Francis Szpiner, maire du 16e arrondissement, s’est immédiatement opposé au projet. L’élu LR a même lancé auprès de ses électeurs une pétition adressée à l’Agence régionale de santé pour faire barrage. 20 Minutes est allé à la rencontre des riverains de l’ancien hôpital Chardon-Lagache, qui doit accueillir les toxicomanes en phase de guérison.

« J’ai beaucoup de clients qui se plaignent de ça »

L’inquiétude. C’est probablement le mot qui résume le mieux les préoccupations des habitants de ce quartier du 16e. Amandine, entourée de ses deux enfants, fait face au futur centre. La trentenaire comprend la nécessité d’ouvrir ces centres, mais trouve « dommage de le faire ici ». Elle, qui a l’habitude d’emmener ses enfants se promener dans le parc Sainte-Périne, craint que la zone ne devienne un nouveau refuge pour les consommateurs de crack, « Dans ce parc, il y a tellement d’endroits où ils pourraient s’installer. »

Antoine est commerçant à quelques centaines de mètres de l’ancien hôpital. S’il ne sent pas son commerce directement mis en danger par l’implantation du centre, il témoigne avoir « beaucoup de clients qui se plaignent de ça. » Malgré la pétition, le libraire d’une cinquantaine d’années semble résigné « c’est toujours comme ça. » […] L'ARTICLE COMPLET ICI


(SOURCE) : 20minutes.fr SOURCE / LIRE L'ARTICLE COMPLET

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