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Ségolène Royal « catastrophée » par Anne Hidalgo : elle ne retient pas ses coups…

Ségolène Royal a clairement fait savoir qu'elle souhaitait une union rapide de la gauche. D'autre part, elle aurait violemment taclé Anne Hidalgo auprès des journalistes du Canard enchaîné.

Image d'illustration

Du côté de la gauche, la situation est encore très floue. Depuis la victoire de Christiane Taubira à la primaire populaire, les différents candidats refusent de se rassembler. Comme Ségolène Royal l'a expliqué dans Quatre Vérités sur France 2 le 1er février dernier, il y a pourtant urgence. L'ancienne compagne de François Hollande a fait depuis de nouvelles déclarations au Canard enchaîné. Elle a notamment visé Anne Hidalgo en affirmant qu'elle était "catastrophée" par la maire de Paris, comme le rapporte le journaliste Amaury Brelet sur Twitter ce 9 février. "C'est l'intérêt du PS qu'elle se retire, car son crash mettrait en péril les parlementaires. Le problème, ce n'est même plus Hidalgo, ce sont les dégâts pour la suite !", a-t-elle fait savoir.

Concernant Valérie Pécresse, Ségolène Royal aurait un avis totalement différent à son sujet. Elle aurait même été jusqu'à dire qu'elle pourrait lui donner son soutien. "Si elle prend ses distances avec Ciotti, je pourrai lui apporter mon aide et la faire gagner", rapporte le journaliste Nils Wilcke sur le réseau social également. Lors de la victoire de Valérie Pécresse, à l'issue du congrès LR, l'ancienne ministre avait salué son "sans faute". Rappelons qu'en 2006, c'est Ségolène Royal qui remportait cette même victoire. De quoi rapprocher les deux femmes politiques ?



Ségolène Royal souhaite l'union de la gauche

Lors de son interview avec Caroline Roux, la femme politique de 68 ans a lourdement attaqué les candidats de la gauche : "Si vous avez des bagarres d'ego, si ces leaders politiques ne comprennent pas que les électeurs de gauche veulent l'union, c'est qu'ils ne sont pas à la hauteur de leur responsabilité". Pour Ségolène Royal, il n'y a pas que l'élection présidentielle qui est importante, l'après compte également. "S'ils ne sont pas capables d'avoir suffisamment de sagesse pour faire alliance entre eux au moment de la présidentielle, alors ce sera une bérézina pour ces partis politiques au moment des législatives. Voilà la réalité", a prévenu avec agacement l'ancienne candidate.


(SOURCE) : gala.fr SOURCE / LIRE L'ARTICLE COMPLET

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