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Présidentielle : selon son entourage, Marine Le Pen ne prendra part à un débat que si Macron y participe

Un peu plus de deux mois avant le premier tour de l’élection présidentielle, la candidate du Rassemblement national pose ses conditions, avant d’envisager de prendre part à un débat organisé en amont, relate BFM TV, lundi 31 janvier.

Image d'illustration

L’entourage de Marine Le Pen a confié à BFM TV, lundi 31 janvier, que la candidate du Rassemblement national (RN) dans la course à l’Elysée avait décidé de poser ses conditions, avant d’envisager de prendre part à un débat. Selon les informations dont disposent nos confrères, elle ne le fera qu’à la condition que le président de la République s’y soumette également. Ainsi, « Marine Le Pen ne participera à aucun débat en l’absence d’Emmanuel Macron, a précisé l’entourage de la candidate frontiste à la chaîne d’information. Si [celui-ci] devait se faire représenter, Marine Le Pen se [ferait] également représenter à ce [ou] ces débats. »

« 12 candidats cherchant leur ‘moment’ avec le président »

Des propos qui s’inscrivent dans la continuité de l’entretien accordé la veille au Parisien par Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement. Ce dernier s’était dit « sceptique » vis-à-vis d’une possible participation d’Emmanuel Macron à un débat qui serait organisé en amont de l’élection présidentielle, dont le premier tour se déroulera dans un peu plus de deux mois. « A quoi rassemblerait ce débat de premier tour ? Douze candidats cherchant pendant 1 h 50 leur ‘moment’ avec le président, qui aurait dix minutes pour [leur] répondre », avait-il estimé dans les colonnes du quotidien. Pour l’heure, le chef de l’Etat n’a toujours pas officiellement confirmé être candidat à sa réélection.

Pécresse veut que Macron « se confronte avec le réel »

Ce dimanche, Valérie Pécresse a de son côté réclamé « solennellement un débat avec Emmanuel Macron », afin que celui-ci « se confronte avec le réel ». Invitée de l’émission Dimanche en Politique, sur le plateau de France 3, la candidate Les Républicains (LR) a précisé ensuite sa pensée de cette manière : « La démocratie moderne, aujourd’hui, c’est [d’]accepter le débat. C’est [d’]accepter la contradiction. On a une présidence du mépris, une présidence hautaine, distante et solitaire. » Le même jour, invité de BFM Politique, Jordan Bardella – président par intérim du RN – a quant à lui critiqué le fait qu’Emmanuel Macron « reste caché ». Il a dit regretter « un manque de respect pour les Français [et] un manque de considération pour la démocratie ».

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