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« L’objectif n’est pas de rassembler 15 % d’électeurs » : Marine Le Pen attaque Eric Zemmour

Alors qu’Eric Zemmour monte dans les sondages, Marine Le Pen a fustigé, lors de son meeting de Vienne vendredi 18 février, l’incapacité de son concurrent à gagner face à Emmanuel Macron, relate BFMTV.

Image d'illustration

Le bulletin pour le Rassemblement national (RN) serait le nouveau vote utile, à en croire Marine Le Pen. Lors d’un meeting à Vienne (Isère), vendredi 18 février, la candidate a une nouvelle fois vanté l’intérêt de sa présence au second tour par sa capacité à battre Emmanuel Macron, relate BFMTV. Comme c’est désormais son habitude, elle a ainsi pointé, sans le nommer, le plafond de verre auquel serait confronté Eric Zemmour. Le candidat est dans une dynamique favorable depuis plusieurs semaines, et même donné au second tour dans un récent sondage.

Zemmour comparé à Macron

« L’objectif n’est pas de rassembler 15 % d’électeurs, mais une majorité de Français », a balayé Marine Le Pen. Et d’ajouter, comme si l’allusion n’était pas assez claire : « Nous n’entendons pas seulement témoigner, mais agir, nous n’entendons pas seulement nous faire les interprètes d’une nostalgie française, mais inventer et édifier la France de demain ». Marine Le Pen a fustigé l’idée « de recomposition en 2027 » du camp national. Face aux défections de la branche dite « identitaire » du RN pour Reconquête !, une candidature commune aux deux camps, peut-être sous l’égide de Marion Maréchal, apparaît envisageable dans cinq ans. D’autant plus que Marine Le Pen a affirmé qu’en cas d’échec, 2022 serait certainement sa dernière campagne présidentielle. « La victoire c’est maintenant », a-t-elle lancé.

La candidate a également rappelé sa différence avec Eric Zemmour sur le plan économique, dénonçant son libéralisme. Elle l’a ainsi renvoyé dos à dos avec Emmanuel Macron. Comme le président sortant, il pense, dit-elle, que le pouvoir d’achat n’est un problème que pour « un ghetto d’ouvriers et des chômeurs ». Un « concours de mépris » entre les deux hommes selon elle, dans une élection qui tourne au « jeu de téléréalité ».

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