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[VIDEO] « Mon espace, c’est moi qui vais le créer ! » : Nicolas Dupont-Aignan réfute toute possibilité de ralliement à Éric Zemmour

Invité sur le plateau de France inter, mercredi 1er décembre, le candidat à l’élection présidentielle de 2022 a rejeté la possibilité de se ranger derrière l’ex-journaliste.

Image d'illustration

« Mon espace, c’est moi qui vais le créer. » Ces mots ont été prononcés par Nicolas Dupont-Aignan, mercredi 1er décembre, au micro de France inter. Le candidat à l’élection présidentielle de 2022 a écarté la possibilité de se ranger derrière un autre candidat, faisant directement allusion à Éric Zemmour, qui a officiellement annoncé sa candidature la veille. « Je suis candidat gaulliste, je défends un projet, ma personnalité », a ensuite précisé le président de Debout La France, sur le plateau de la radio nationale.

« Un président sans aucune légitimité »

Après quoi, Nicolas Dupont-Aignan a jugé en ces termes, pour étayer son point de vue : « Je pense qu’Éric Zemmour a suffisamment de temps d’antenne pour ne pas passer le mien à commenter. » Toujours auprès de France inter, il a dit craindre « une abstention massive » et l’élection, à la tête du gouvernement, d’un « président sans aucune légitimité, alors que le pays affronte des tempêtes ». À quatre mois et demi du scrutin, l’homme politique a assuré avoir « des solutions » à proposer aux électeurs. « Les Français vont choisir pour cinq ans, le reste ne m’intéresse plus », a ensuite poursuivi le député de l’Essonne, sur les ondes de la même radio. Avant de rappeler avoir exercé la fonction de maire pendant 22 ans, ce qui lui a permis de « régler des problèmes à [sa] façon » et d’être « réélu largement ».



Pour l’heure, Nicolas Dupont-Aignan n’a pas encore obtenu les 500 promesses de parrainage requises pour pouvoir être candidat à la présidentielle. Il a admis auprès de France inter que c’était « dur », et qu’il ne les aurait « peut-être pas ». Après quoi, il a fait appel aux maires, les enjoignant à le parrainer « pour la démocratie », et non forcément pour le « soutenir ». Et de conclure en ces termes : « Si un candidat qui porte des projets ne peut pas [l’être] parce qu’il n’a pas les parrainages, cela posera un réel problème. »

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