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[VIDEO] Schiappa s’indigne qu’une journaliste l’interroge sur sa tribune pro-Hulot en 2018

Après que les accusations d’agressions sexuelles contre Nicolas Hulot ont rebondi jeudi dernier, Marlène Schiappa s’est révoltée contre une question posée sur sa tribune en soutien à l’écologiste publiée en 2018. Elle pensait que son équipe s’était mise d’accord avec les journalistes pour ne pas en parler.

Image d'illustration

Au lendemain de la diffusion de l’enquête sur Nicolas Hulot, jeudi soir sur France 2, dans laquelle plusieurs femmes disent avoir été victimes de l’ancien ministre de la Transition écologique et solidaire, de nombreux projecteurs ont été braqués sur Marlène Schiappa.

Après que l’hebdomadaire Ebdo, qui n’existe plus aujourd’hui, avait publié en 2018 une enquête sur un viol qui aurait été commis par Nicolas Hulot en 1997, cette dernière avait publié une tribune dans le Journal du dimanche en son soutien.

Dans cette tribune, alors secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes, elle avait affirmé que l’article était irresponsable et que la justice était rendue "dans les tribunaux, pas les médias".

Schiappa ne voulait parler que d’un séminaire sur le séparatisme

Son soutien à l’ex-ministre lui a été une nouvelle fois rappelé ce matin sur LCI.

Marlène Schiappa a été mise en mauvaise posture lorsqu’Élizabeth Martichoux l’a interrogée dessus: "Si c’était à refaire, vous le referiez de la même façon?"



"Réponse très simple. Quand on a préparé cette émission, je vous ai dit qu’on avait un séminaire de lutte contre le séparatisme. Et vous avez dit: ‘Nicolas Hulot, moi je n’en parlerai pas parce que ça ne m’intéresse pas’. C’est ce que vous avez dit à ma conseillère manifestement pour préparer l’émission", s’est-elle indignée, ce qu’Élizabeth Martichoux a nié.

"Vous savez, on a dit qu’on venait pour parler du séminaire sur le séparatisme. [Pas de] Nicolas Hulot pour des faits qui se sont produits 30 ans avant que je le connaisse […]. C’est moi que l’on vient chercher ? Mais c’est une plaisanterie. […] On ne peut pas me reprocher d’avoir une réaction en 2018 pour des faits qui sont portés à notre connaissance publique en 2021", conclut Schiappa, irritée.

"Plusieurs articles et émissions (BFM TV,Le Dauphiné libéré, Quotidien…) supposant que je serais ‘contrainte au silence’ ou même ‘privée de parole’ m'amènent à m'exprimer sur l'article portant des accusations contre Nicolas Hulot. Le Premier ministre a parlé au nom de tout le gouvernement en étant très clair: le gouvernement fait confiance à Nicolas Hulot. Qu'ajouter ? Je pourrais répéter cela. Je pourrais ajouter que c'est ‘un homme charmant’ (c'est le cas), ‘respectueux’ (c'est le cas)", avait-elle écrit dans sa tribune au JDD.

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