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Législatives : Les deux enseignants qui ont aspergé Jean-Michel Blanquer avec de la chantilly convoqués à une audience de plaider-coupable

La garde à vue des deux enseignants qui ont agressé l'ancien ministre de l'Education nationale, candidat aux législatives à Montargis, a été levée samedi 4 juin dans la soirée.

Image d'illustration

Le procureur de la République de Montargis a indiqué, samedi 4 juin en soirée que "les deux enseignants gardés à vue ont reconnu les faits devant les enquêteurs".

Selon Loic Abrial, ils ont expliqué "vouloir protester contre la candidature de M. Blanquer aux législatives".

Audience le 4 juillet

Le procureur de Montargis a décidé de les convoquer pour une audience de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, ce que l'on appelle aussi le plaider- coupable, le lundi 4 juillet 2022 à 9 heures devant le tribunal judiciaire de Montargis.

Ils devront répondre de violences en réunion n’ayant pas entraîné d’incapacité totale de travail, délit pour lequel la peine encourue est de trois ans d’emprisonnement. Leur garde à vue a été levée ce soir après remise de leur convocation en Justice.

Un témoin raconte

La scène a été filmée et partagée sur les réseaux sociaux. Des passants en ont été témoins. "J’étais venu voir tous les candidats et j’ai souhaité interpeller M. Blanquer. J’ai discuté avec lui pendant cinq minutes et deux individus sont arrivés, avec chacun une bombe à chantilly dans la main", raconte un témoin direct de la scène.

"Puis ils ont pris la fuite, mais nous les avons rattrapés, avec un autre témoin, en attendant la police municipale", poursuit-il, précisant que les deux hommes n’ont opposé aucune résistance.

Le candidat Reconquête était à proximité

Le candidat Alexandre Cuignache (Reconquête) assure, lui aussi, avoir assisté à la scène. "J’étais à 3 mètres […] Le ministre était un peu choqué. Je suis allé lui chercher des serviettes", affirme-t-il, avant d’ajouter : "Nous avions parlé à l’un des deux assaillants avant, lors du tractage. Il s’est présenté comme un professeur de collège désabusé et en colère."


(SOURCE) : larep.fr SOURCE / LIRE L'ARTICLE COMPLET

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