Laurent Wauquiez alias « le seigneur des panneaux » : cette idée qui lui vaut des moqueries - 01Topinfo

En tant que président du conseil régional d’Auvergne-Rhône Alpes, Laurent Wauquiez a dû faire des choix. Et l’un d’entre eux lui a valu un drôle de surnom…

*Image d'illustration : Laurent Wauquiez [ © JEFF PACHOUD / AFP]*

Par : Leandro Carvalho

Laurent Wauquiez n’est visiblement pas apprécié par beaucoup dernièrement. Pour preuve, d’après les récentes informations dévoilées par nos confrères du Monde, mardi 24 mai, l’actuel président du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes est régulièrement moqué à cause d’une de ses récentes mesures qu’il a mise en place en Haute-Loire.

En effet, comme le précise le média national, "pour chaque financement, la région impose aux bénéficiaires d’installer un panneau bleu clair à l’entrée du bourg ou de la ville". Une mesure prise par l’allié de Valérie Pécresse et qui lui a valu le surnom de "seigneur des panneaux". Toutefois, d’après les propos de Johann Cesa, vice-président du groupe socialiste, cette idée a eu des résultats concluants malgré les nombreuses moqueries. "Si l’on compare des projets de même nature portés par des communes de tailles équivalentes, celles de Haute-Loire reçoivent trois à quatre fois plus de subventions", a-t-il partagé au média. Une nouvelle qui risque de consoler Laurent Wauquiez…

Laurent Wauquiez : cette maladresse sur Emmanuel Macron

Le 4 mars dernier, Laurent Wauquiez était présent à à Chartres, à l'un des meetings de Valérie Pécresse. Sur scène, l’ancien président des Républicains avait eu des mots durs à l’égard de la candidature d’Emmanuel Macron à la présidentielle. "Emmanuel Macron est le modèle d’un président de la République tout à la fois monarchique et dictateur", avait-il annoncé devant une foule de spectateur.

Un discours qu’il avait rapidement rectifié ensuite via son compte Twitter suite au conflit opposant la Russie à l'Ukraine - qui venait tout juste d'éclater -. "Lors d’un échange sur le rôle des élus locaux, j’ai souligné l’exercice solitaire et autoritaire du pouvoir par Emmanuel Macron pendant son quinquennat. L’usage, dans le contexte actuel, du terme de dictateur n’était pas adapté. Je le retire", avait-il annoncé le jour même.

(SOURCE) : gala.fr SOURCE / LIRE L'ARTICLE COMPLET