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Éric Naulleau : « Je ne renierai jamais mon amitié avec Éric Zemmour ! »

A l'occasion de la sortie d'un livre, cosigné avec Michel Onfray, le célèbre écrivain a une nouvelle fois évoqué sa longue amitié avec Eric Zemmour.

Image d'illustration

Dans la sphère politique et médiatique, il est coutume de dire que l’amitié n’existe pas – du moins qu’elle est chose très fragile. Le moins que l’on puisse dire, c’est que les liens qu’entretiennent Eric Naulleau et Eric Zemmour constituent l’une des plus belles exceptions à cet adage. L’écrivain en a fait une nouvelle démonstration lors d’un entretien accordé au Figaro samedi 14 mai, à l’occasion de la parution d’un ouvrage cosigné avec Michel Onfray.

Interrogé, comme souvent, sur la difficulté d’être de gauche quand on est ami avec l’un des hommes politiques les plus en vue de la droite radicale, Eric Naulleau s’est montré catégorique : « Je ne renierai jamais mon amitié avec Éric Zemmour », explique-t-il d’entrée, évoquant « une relation fraternelle relevant d’une part non-négociable » de lui-même. Une amitié d’abord intellectuelle – « Nous avons en commun certaines convictions, comme celle que dix mille heures de présence à la télévision ne vaudront jamais d’avoir écrit une page de Proust ou de Chateaubriand » – mais qui peut se trouver des points communs politiques – « Nous partageons aussi une même inquiétude quant à une possible disparition de la France telle que nous l’aimons ».

Ma gauche à moi, elle me parle d’aventures

Eric Naulleau ne s’est pas contenté de revenir sur ses liens avec le fondateur de Reconquête !. Il a également consacré un long moment à étriller la gauche moderne, dans lequel il se reconnaît de moins en moins. « Le PS, Les Verts et le PC ont capitulé en rase campagne (électorale) devant les exigences d’un Jean-Luc Mélenchon qui n’a jamais caché son mépris à leur endroit », déclare-t-il, fustigeant la disparition soudaine de « différends, qualifiés de fondamentaux hier encore ».

« Ma gauche est républicaine, laïque, sociale et antitotalitaire », abonde l’écrivain, listant parmi ses totems : Albert Camus, George Orwell et, comme de juste, Michel Onfray.

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