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Loire-Atlantique (44) : des femmes constatent des traces de piqûres en discothèque, une enquête ouverte

Depuis le 16 février, date de la réouverture des boîtes de nuit, plusieurs femmes de la région nantaise ont été prises de malaises et ont constaté la trace d’une piqûre sur une partie de leur corps.

Image d'illustration

Une ecchymose sur le bras ou la jambe, et au centre, un point rouge marquant l’endroit d’une piqûre. Le parquet de Nantes (Loire-Atlantique) a lancé un appel à la vigilance après que plusieurs plaintes et témoignages ont fait état de jeunes femmes ayant fait des malaises, ou souffert de vertiges et de nausées, craignant après avoir été « piquées » avec une aiguille dans des boîtes de nuit.

Le 15 février, à la veille de la réouverture des discothèques, le gouvernement lançait un plan national de lutte contre le GHB. La « drogue du violeur » qui permet de faire tomber les barrières et de gommer les souvenirs est généralement versée dans les verres des consommatrices. Pourrait-elle être inoculée avec un objet piquant ou injectée avec une seringue ? Dans la nuit de jeudi à vendredi, selon Ouest-France, sept jeunes femmes ont été prises en charge par les équipes d’un même établissement situé sur l’île de Nantes. Elles pensent avoir été piquées sur la piste de danse. Trois d’entre elles ont porté plainte.

« Des vertiges, juste après avoir senti comme une piqûre »

Le procureur de la République de Nantes Renaud Gaudeul a affirmé à France Bleu qu’une dizaine de personnes, « exclusivement des jeunes femmes » avaient signalé avoir constaté la même chose après s’être rendues dans différentes boîtes de nuit de Nantes et des environs. Elles confirmaient ainsi les mises en garde publiées depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux par de potentielles victimes, qui disaient avoir eu des maux de tête, des nausées ou des vomissements. « Certaines jeunes femmes présentent des vertiges, juste après avoir senti comme une piqûre » à la cuisse, au bras ou à l’épaule, a expliqué Renaud Gaudeul.

Une enquête a été ouverte pour « administration de substances nuisibles à la santé » et confiée à la sûreté départementale. Le procureur invite d’autres éventuelles victimes à se manifester le plus rapidement possible auprès des forces de l’ordre, notamment pour réaliser au plus vite des analyses, et savoir si un produit a été injecté, et dans ce cas lequel. « L’analyse est utile seulement si elle est réalisée très rapidement, dans les 24 heures », insiste-t-il, assurant que plusieurs victimes potentielles ont pu faire réaliser des prélèvements vendredi.


(SOURCE) : leparisien.fr SOURCE / LIRE L'ARTICLE COMPLET

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