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Après sa visite perturbée à Calais, Éric Zemmour veut porter plainte contre « le journaliste qui a informé les antifas ! »

Selon l’équipe d’Éric Zemmour, un journaliste aurait prévenu des antifas “pour tenter de perturber (l)a venue”, du candidat à Calais ce mercredi 19 janvier, relaie CNews.

Image d'illustration

Le déplacement d’Éric Zemmour a dû être écourté. Ce mercredi 19 janvier, le candidat à l’élection présidentielle d’avril prochain était en visite à Calais, dans le Nord, pour parler immigration. À la mi-journée, il a tenu un discours à l’emplacement de l’ancienne Jungle de Calais dans la zone des Dunes. Il devait ensuite rencontrer des membres des forces de l’ordre sur des « points de présence de clandestins ». En raison de la présence de manifestants, Éric Zemmour a finalement effectué cette rencontre dans un bistrot. Au vu de la trentaine d’antifas qui l’attendaient à l’extérieur, Éric Zemmour a finalement dû renoncer à poursuivre son déplacement, s’exfiltrant par la porte arrière de l’établissement.

Un « journaliste » en cause, selon son entourage

D’après les informations de CNews, l’équipe de campagne de l’ex-chroniqueur a indiqué qu’une plainte allait être déposée contre le « journaliste qui a informé les antifas pour tenter de perturber sa venue ». Ces allégations ne seraient pas encore confirmées. Avant de quitter Calais, le directeur adjoint de la stratégie de campagne d’Éric Zemmour, Antoine Diers, a jugé sur BFMTV que les antifas n’étaient « pas des manifestants », mais plutôt « des gens qui (les) empêchent de (s’)exprimer ».



Une « collusion » entre des journalistes et l’extrême gauche

Éric Zemmour a en tout cas commenté les faits sur son compte Twitter : « La collusion entre certains journalistes et l’extrême gauche la plus violente n’est pas seulement idéologique », a-t-il pointé. « Elle est également concrète, assumée, agressive et très dangereuse pour la démocratie et ses défenseurs. »



Marseille, Nantes…

Ce n’est pas la première fois que l’une de ses visites est perturbée par des militants d’extrême gauche. En novembre dernier, la venue d’Éric Zemmour à Marseille était extrêmement tendue. Le journaliste avait dû descendre de son train à Aix-en-Provence car des militants l’attendaient à la gare de Marseille-Saint Charles. Déambulant dans le quartier du Panier, l’essayiste avait fait face à une franche hostilité, des insultes et des jets de projectiles, qu’il avait attribuée à des « militants, non des Marseillais ». Un restaurant, dans lequel il avait déjeuné, avait également été la cible de projectiles. Dans la soirée, des heurts avaient éclaté entre les forces de l’ordre et les antifas. À Nantes, fin octobre, sa visite avait aussi été tendue. Plus de 600 manifestants étaient descendus dans la rue à Saint-Herblain, afin de perturber la venue d’Éric Zemmour, attendu au Zénith de Nantes.

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