France

[France][bsummary]

Europe

[Europe][bsummary]

International

[International][bsummary]

SCI-TECH

[SCI-TECH][bigposts]

Faits divers

[Faits divers][twocolumns]
Suivez nous sur :

Refoulés à la frontière polonaise, près de 600 clandestins irakiens acceptent de rentrer chez eux « L’Union européenne soutient la démarche ! »

Un premier vol de rapatriement de migrants vers l’Irak depuis la Biélorussie a lieu jeudi 18 novembre, relate Le Figaro. 571 clandestins ont accepté ce plan de retour volontaire.

Image d'illustration

Face aux barbelés et aux gardes-frontières, ils ont préféré renoncer. Plusieurs centaines de migrants qui avaient tenté de rejoindre la Pologne et l’Union européenne via la Biélorussie ont décidé de retourner dans leur pays jeudi 18 novembre, rapporte Le Figaro. Ils ont accepté la proposition de rapatriement formulée par le gouvernement irakien. Ce vol est le premier du genre et transportera 571 clandestins. La mesure, annoncée par le ministère irakien des Affaires étrangères avec l’appui de l’Union européenne, doit permettre de diminuer la pression migratoire sur la Pologne. S’agissant d’un premier vol, il est cependant difficile d’en mesurer l’efficacité à long terme, car elle repose sur la base du volontariat.

L’Union européenne soutient la démarche

« Je vais rentrer chez moi comme tous ceux qui sont ici », a témoigné un Irakien cité par Le Figaro. Un autre juge qu’il y a « trop de problèmes en Pologne » pour rester. La plupart des migrants massés à la frontière du pays viennent du Moyen-Orient et plus particulièrement du Kurdistan irakien. Depuis plusieurs mois, le régime biélorusse du président Loukachenko est accusé d’organiser la venue massive de migrants depuis cette zone, pour ensuite les envoyer vers les frontières de ses voisins européens de Pologne, Lituanie et Lettonie. L’Irak a finalement interdit les départs vers la Biélorussie, mais Varsovie accuse la Turquie d’avoir pris le relai. L’Union européenne s’est dite prête à travailler « activement » à ce plan de retours volontaires.

La pression migratoire sur la Pologne a franchi un nouveau cap mardi 16 novembre avec des affrontements entre migrants et forces de sécurité polonaises. Dans la nuit du mercredi 17 au jeudi 18, une centaine d’entre eux ont été interpellés alors qu’ils tentaient de franchir la frontière, précise Le Figaro.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans les commentaires sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à 01topinfo.fr ®