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« C’était les 50 nuances d’Éric Zemmour » : Schiappa se dit « choquée » par des propos tenus au débat LR

Sur Europe 1, la ministre déléguée chargée de la Citoyenneté a critiqué le troisième débat entre les candidats à l’investiture LR diffusé sur CNews.

Image d'illustration

« On a parlé immigration principalement. » Le troisième débat entre les candidats à l’investiture Les Républicains (LR) – Valérie Pécresse, Éric Ciotti, Xavier Bertrand, Michel Barnier et Philippe Juvin – en vue de l’élection présidentielle de 2022, s’est tenu dimanche 21 novembre. Et certains propos tenus lors de l’événement politique, diffusé sur Europe 1 et CNews, ont fait réagir Marlène Schiappa. La ministre déléguée chargée de la Citoyenneté a qualifié le débat LR de « 50 nuances d’Éric Zemmour ». D’après elle, « la plupart des candidats ont passé leur temps à courir après les propositions » de celui qui ne s’est pas encore officiellement présenté dans la course à l’Élysée.

Mali, peine de prison, « civilisation »

Toujours au micro d’Europe 1, Marlène Schiappa s’est dit « choquée » par certains propos tenus par les candidats LR. Elle a par exemple pointé les dires de Philippe Juvin qui a estimé « qu’il y avait une civilisation supérieure à une autre ». L’ex-secrétaire d’Etat « considère que ce sont des propos qui ne sont pas dignes d’une personne qui veut être chef d’État d’une grande puissance mondiale ». Elle a aussi pointé Valérie Pécresse concernant le cas du Mali. La présidente de la région Ile-de-France a assuré que « le Mali était ‘un pays à problème’ et qu’elle ne voudrait plus accueillir de Maliens », « ni de travailleurs ni d’étudiants », a déploré Marlène Schiappa.

La ministre est également revenue sur l’une des mesures abordée dimanche soir : purger les peines de prison à l’étranger. Pour Marlène Schiappa, « une peine prononcée en France doit être effectuée en France ». Quant aux personnes radicalisées ou « faisant l’apologie du terrorisme », la ministre a estimé qu’il est préférable de les « contrôler » sur le territoire afin de « savoir où elles sont ». Enfin, Marlène Schiappa a estimé que certains candidats comme Xavier Bertrand avaient repris des propositions du parti présidentiel. Il aurait « dit ‘’je veux protéger ceux qui nous protègent’ en parlant des policiers », a répété Marlène Schiappa, rappelant qu’il s’agit du « mot d’ordre de la loi Fauvergue » que le ministère de l’Intérieur a fait voter. « Xavier Bertrand répète ce qu’a dit Gérald Darmanin, mais en moins bien », a conclu Marlène Schiappa.

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