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Présidentielle 2022 : un sondage donne Eric Zemmour devant Xavier Bertrand

Dans un sondage Ipsos Sopra-Steria/Le Parisien/francinfo publié ce vendredi 1er octobre, le journaliste est crédité de 15% des intentions de vote. Un score qui le place devant Xavier Bertrand et tous les candidats de la droite.

Image d'illustration

Par : V.A.

Le phénomène Zemmour s’installe dans le paysage politique français. Pas encore officiellement candidat, l’ex-vedette de CNews effectue une ascension fulgurante dans les sondages, à six mois du scrutin présidentiel de 2022. Ce vendredi 1er octobre, un sondage Ipsos Sopra-Steria/Le Parisien/francinfo le place en troisième position derrière le duel Emmanuel Macron-Marine Le Pen. Dans le détail, lors du premier tour de la présidentielle le chef de l’Etat sortant arriverait en tête autour de 25% des suffrages, suivi de la présidente du Rassemblement national autour de 16%. Eric Zemmour est la sensation de ce sondage puisqu’il talonnerait Marine Le Pen avec 15% des suffrages. Information importante, tous les candidats potentiels de la droite arriveraient derrière lui : Xavier Bertrand (14%), Valérie Pécresse (12%), Michel Barnier (11%).

Eric Zemmour aux portes du second tour

En clair, selon Le Parisien, si l’élection présidentielle avait lieu dimanche, Eric Zemmour serait au bord de la qualification au second tour face à Emmanuel Macron qui, lui, reste stable entre 24 et 27% des intentions de vote. « Eric Zemmour est sur une dynamique, un mouvement fort qui va en s’accélérant puisqu’il double quasiment son score en l’espace de quinze jours, passant de 8% à 15% », souligne Brice Teinturier, le directeur délégué d’Ipsos. Eric Zemmour prend des voix à la droite traditionnelle et au Rassemblement national. Quant à ceux qui pensent que les sondages sont faussés et que le phénomène Zemmour ne durera pas, ils risquent de déchanter. Le patron d’Ipsos explique au Parisien : « C’était pareil avec Macron il y a cinq ans. La question clé, c’est que l’échantillon soit représentatif. A partir du moment où les Français connaissent le personnage, ils sont habilités à le jauger », selon Brice Teinturier. A noter aussi l’effondrement d’Anne Hidalgo, à 5,5 % contre 9 % début septembre.

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