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Présidentielle 2022 : un nouveau sondage confirme la poussée d’Eric Zemmour “crédité de 12 à 15% des intentions de vote”

Un récent sondage commandé par Le Figaro et LCI, et réalisé par Ifop-Fiducial, confirme et ancre définitivement la percée d’Eric Zemmour dans la course à l’Elysée.

Image d'illustration

Par : V.A.

Eric Zemmour persiste et signe, et les sondages confirment. Depuis quelques semaines, le polémiste est porté par une importante percée dans les sondages, et perturbe grandement le jeu polémique à droite. Une progression confirmée par la dernière enquête Ifop-Fiducial commandée par Le Figaro et LCI, et diffusée lundi 4 octobre. En fonction du candidat qui sera désigné par le congrès des Républicains, en décembre prochain, Eric Zemmour est crédité de 12 à 15% des intentions de vote. Dans le détail, c’est Xavier Bertrand qui résiste le mieux à la « poussée Zemmour », tandis que Michel Barnier, Philippe Juvin, Valérie Pécresse et Eric Ciotti peinent à tenir la comparaison, offrant à l’ancien journaliste du Figaro ses meilleurs résultats.

Macron est un « pôle de stabilité »

« Cette pré-campagne est accélérée par le phénomène Zemmour, qui est bel et bien un phénomène et non une construction médiatique », confirme Frédéric Dabi, qui souligne le caractère « inédit » de la percée « de quelqu’un qui n’appartient pas au sérail politique et qui n’est toujours pas candidat ». Une vague sondagière très favorable qui fait, en revanche, beaucoup de mal à Marine Le Pen — même si, pour l’heure, Eric Zemmour prend plus d’électeurs chez les anciens supporters de François Fillon (24%) que chez Marine Le Pen (18%). L’ancienne présidente du RN perd six points dans les sondages, et repasse sous le cap symbolique de 20% — sauf en cas d’une candidature LR incarnée par Eric Ciotti, qui maintiendrait Marine Le Pen à 21%.

Si les choses bougent donc beaucoup à droite et à gauche, le centre macroniste reste d’une remarquable stabilité. A sept mois du quitte ou double, Emmanuel Macron reste exceptionnellement stable, entre 24 et 27%, selon les scénarios. Un scénario rarissime pour un président sortant. « On n’a pas vu ça depuis Mitterrand qui, à la rentrée 1987, était en tête avec des scores encore meilleurs », se souvient Frédéric Dabi, qui insiste également sur « un pôle de stabilité dans un paysage politique qu’on n’a jamais connu aussi incertain et morcelé ». De quoi rassurer les macronistes qui rêvent à « cinq ans de plus » ?


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