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La France doit retrouver «sa part de francité» : Marine Le Pen répond à Macron sur l'«africanité»

Rebondissant sur les propos tenus par Emmanuel Macron, Marine Le Pen a profité de son intervention sur BFMTV le 10 octobre pour exprimer sa stupéfaction. Selon elle, le président de la République est le garant de l'identité de la France.

Image d'illustration

Par : RT

Invitée sur BFMTV le 10 octobre, la candidate du Rassemblement national (RN) est revenue sur les propos tenus par Emmanuel Macron au sujet de «la part d'africanité» de la Franc.

A rebours du président de la République, Marine Le Pen a estimé que «le problème de la France, c'est qu'elle retrouve sa part de francité». Elle a ensuite fait part de son étonnement envers la teneur des propos d'Emmanuel Macron, qu'elle a jugés infondés : «Je ne vois pas d'où sort ce propos, je ne vois pas sur quoi il est fondé», a-t-elle notamment déclaré.


«Avec le plus grand respect que j'ai pour l'Afrique, l'Afrique est l'Afrique, et que l'Afrique défende son africanité est parfaitement légitime. Moi, je défends le droit de tous les peuples du monde à défendre ce qu'ils sont», a poursuivi Marine Le Pen. «Je ne voudrais pas que le seul pays qui n'ait pas le droit de le faire ce soit la France», a-t-elle renchéri.

L'identité de la France serait mise à mal par «un basculement migratoire», selon Marine Le Pen

«Je pense que ce président est en permanence en train de s'excuser de tout auprès de tout le monde [...] Ça devient un travail à temps complet», a également lancé la candidate du RN. Selon elle, le président de la République devrait faire en sorte que la France «retrouve précisément ce qui fait sa spécificité». Une identité qui serait mise à mal par «un basculement migratoire».

Lors du sommet Afrique-France qui s'est tenu à Montpellier, Emmanuel Macron avait affirmé dès son ouverture le 8 octobre que «près de sept millions de Français [étaient] intimement, familialement [...] liés à l'Afrique». Estimant que la France aurait «une dette envers l'Afrique», le président de la République avait ensuite affirmé : «On ne peut pas avoir un projet d'avenir pour la France si elle n'assume pas sa part d'africanité.»



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