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[VIDEO] « Scène de crime » : Sandrine Rousseau « soutient » Assa Traoré et diffame les gendarmes

Sandrine Rousseau a fait cette déclaration à l’occasion du débat organisé par LCI, mercredi 8 septembre, avec les cinq candidats à la primaire écologiste.

Image d'illustration

Par : V.A.

Encore une sortie médiatique dont l’écologiste a le secret et qui est abondamment commentée sur les réseaux sociaux. A l’occasion du débat organisé mercredi 8 septembre sur LCI, les cinq candidats à la primaire écologiste Delphine Batho, Jean-Marc Governatori, Yannick Jadot, Eric Piolle et Sandrine Rousseau ont présenté leur programme, avant le premier tour, prévu du 16 au 19 septembre. Interrogée sur les positions d’Assa Traoré, la militante anti-police qui cherche à faire la lumière sur la mort de son frère, Sandrine Rousseau a déclaré que « le combat d’Assa Traoré est un combat qui défend le droit de savoir ce qu’il s’est passé pour son frère. Oui, Assa Traoré a le droit de mener ce combat et oui je la soutiens ».

« Scène de crime »

Au cours de cette émission, Sandrine Rousseau a également parlé de « scène de crime » à propos de la mort d’Adama Traoré. Une mise en cause directe de l’implication des trois gendarmes dans la mort du frère d’Assa Traoré, lors de son interpellation dans le Val-d’Oise en 2016. Tout le débat autour de cette affaire repose sur les causes de la mort de ce jeune homme, le 19 juillet 2016, dans la caserne de Persan (Val-d’Oise). La famille ne croit pas à la thèse du coup de chaleur ou de la malformation congénitale et met en cause son interpellation sous le poids des trois gendarmes.

Amine El Khatmi dénonce la gauche qui défile avec Assa Traoré et se tait sur Mila

Ce soutien de Sandrine Rousseau relance le débat idéologique sur ce que sont devenus la gauche et ses alliés. Dans un entretien accordé au Point le samedi 21 août, le président du Printemps républicain,Amine El Khatmi, avait étrillé une partie de sa famille politique, fustigeant ceux qui se disent de gauche, mais qui ont mis de côté l’idéal socialiste au profit des polémiques et prises de position douteuses, notamment sur les questions relatives au racialisme ou à l’islam. « Ceux qui ont remplacé la lutte des classes par la lutte des races ne sont plus de gauche. Ils ont trahi le peuple ! Ceux qui défilent avec Assa Traoré et se taisent lorsque Mila est menacée ne sont plus de gauche », avait-il fustigé.

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