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Gérald Darmanin « exemplaire » ? « Il faut demander à ma femme ! »

Invité dans L’Interview, sur BFMTV, ce mardi 5 juillet, Gérald Darmanin s’est épanché au sujet des accusations de viols qui visent actuellement Damien Abad. Un sujet houleux au gouvernement qui a encouragé Apolline de Malherbe a questionné son invité sur son attitude avec les femmes…

Image d'illustration

Présent sur le plateau de L'Interview (BFMTV), ce mardi 5 juillet, Gérald Darmanin a été reçu par Apolline de Malherbe afin d’évoquer le remaniement du gouvernement mais pas que… En effet, la journaliste et animatrice s’est également intéressée à l’éviction de Damien Abad, ancien ministre des Solidarités, actuellement visé par plusieurs accusations de viols et tentatives de viols. Un sujet qui a fait jaser au gouvernement.

"Est-ce que vous êtes exemplaire Gérald Darmanin sur les relations avec les femmes ?", a d’abord lancé Apolline de Malherbe, avant d’évoquer la récente interview d’Élisabeth Borne au magazine Elle - dans laquelle la Première ministre a laissé entendre que les hommes politiques doivent être "exemplaires" -. "La Première ministre a raison, après je suis très attaché à la présomption d’innocence", a ainsi fait savoir le ministre de l’Intérieur, avant de poursuivre, sur sa relation avec les femmes : "Est-ce que je suis exemplaire ? Il faudrait le demander à mon épouse !"

Gérald Darmanin : Élisabeth Borne lui en veut

Alors que Damien Abad a été évincé de son poste, Gérald Darmanin a quant à lui gardé ses fonctions. Même plus que ses fonctions puisque le ministre de l'Intérieur a également récupéré l'Outre-Mer. Pourtant, d’après les informations dévoilées par Politico, la Première ministre l’avait en ligne de mire. "Élisabeth Borne veut la peau de Darmanin, ça c'est vrai", avait rapporté un conseiller de l’exécutif.

Seulement, Gérald Darmanin s’est montré indispensable au gouvernement mais surtout aux yeux du président. "Le remaniement qu’elle a en tête n’est pas forcément que technique. Elle aimerait bien marquer son territoire avec quelque chose d’important, alors que ce n’est pas forcément le souhait du président, qui n’aime pas trop bouger les choses", avait confié un parlementaire à Politico. Un témoignage qui pourrait expliquer pourquoi le ministre de l’Intérieur n’a pas connu le même sort que l’ancien ministre des solidarités…


(SOURCE) : gala.fr SOURCE / LIRE L'ARTICLE COMPLET

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