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Olivia Grégoire : ses mots qui ont provoqué la « fureur » d’une figure macroniste le soir des législatives

Après l'échec de la majorité présidentielle lors des élections législatives, Olivia Grégoire a proposé une stratégie de communication qui a eu le don d'agacer une députée LREM, comme l'annonce Le Monde, ce mardi 21 juin.

Image d'illustration

C'est une véritable claque qu'a dû encaisser le camp d'Emmanuel Macron après les résultats du second tour des élections législatives, qui a eu lieu dimanche 19 juin. Devant l'ascension de la Nupes et du RN à l'Assemblée nationale, provoquant la déception de la majorité présidentielle, le chef de l'État a semblé avoir du mal à se positionner sur la meilleure communication à adopter. Comme le révèle Le Monde, ce mardi 21 juin, les membres du gouvernement et de La République en Marche se sont récemment réunis en audioconférence après le coup de massue, afin de parler stratégie.

L'idée était de savoir comment évoquer le sujet dans les médias et notamment comment Olivia Grégoire, la porte-parole, allait réagir. Confiante, celle-ci a affirmé, selon nos confrères, qu'il "faut dire : 'C'est une victoire décevante, mais une victoire quand même'". Des propos qui ont eu le don d'agacer Aurore Bergé, députée des Yvelines. Prise d'une "fureur", la femme politique s'est exclamée : "Mais on ne peut pas dire que c'est une victoire !" De son côté, Emmanuel Macron a directement appelé celle qui a remplacé Gabriel Attal, avant qu'elle ne fasse son entrée sur le plateau de France 2, afin de lui conseiller de faire "profil bas".

Un quinquennat qui "va être compliqué" pour Emmanuel Macron

Lundi 20 juin, Olivia Grégoire était invitée au micro de France Inter afin de s'exprimer sur les résultats des élections législatives. Auprès de Nicolas Demorand et de sa collègue Léa Salamé, la porte-parole du gouvernement reconnaissait que le second quinquennat d'Emmanuel Macron "va être compliqué" étant donné le peu de sièges obtenus par les alliés du Président au sein de l'Assemblée nationale. "Il va falloir de l'imagination, de l'audace, de l'ouverture", avait-elle ajouté, en confiant que sa "hantise", en tant que "citoyenne", était que le "pays soit bloqué".

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