France

[France][bsummary]

Europe

[Europe][bsummary]

International

[International][bsummary]

SCI-TECH

[SCI-TECH][bigposts]

Faits divers

[Faits divers][twocolumns]
Suivez nous sur :

Tempête médiatique : La députée LREM Coralie Dubost annonce son retrait de la vie politique

Epinglée par Mediapart, la députée LREM de la troisième circonscription de l’Hérault dénonce des attaques injustes et ne veut pas desservir son groupe politique

Image d'illustration

L’ESSENTIEL

  1. Coralie Dubost a annoncé ce dimanche sur son compte Twitter qu’elle se mettait « en retrait de la vie politique ».
  2. La députée LREM était dans une tempête médiatique après un article de Mediapart évoquant des notes de frais fastueuses et un comportement inapproprié envers ses collaborateurs.
  3. Elue dans la troisième circonscription de l’Hérault, Coralie Dubost dénonce des « attaques injustes » qui « desservent [s]on groupe politique » et « les échéances électorales ».

Coralie Dubost a annoncé dimanche se « mettre en retrait de la vie politique ». La députée LREM de la troisième circonscription de l’Hérault a été épinglée deux jours plus tôt par Mediapart. La gestion humaine de certains collaborateurs et l’utilisation dispendieuse de ses avances de frais de mandat, étaient pointées par le média. Des faits que la députée conteste.

« Depuis quelques jours, ma personne est visée par des attaques injustes qui desservent mon groupe politique, les échéances électorales et plus globalement la démocratie », explique-t-elle, dans une lettre publiée sur son compte Twitter. « Je refuse d’être l’objet d’une cabale antiparlementaire, de la même façon que je me refuse de me prêter à un ping-pong de justifications, qui confinent à un lynchage fantasmagorique sur les réseaux sociaux ».



Comportements « dévalorisants », « conflit de valeurs »

Dans un rapport d’un cabinet de ressources humaines transmis au printemps 2021 au déontologue de l’Assemblée nationale, d’ex-collaborateurs lui reprochent de leur avoir imposé « des tâches relevant de la sphère personnelle ». Dans ce document publié par Mediapart, ceux-ci lui reprochent également des propos et comportements « dévalorisants » mais aussi un « conflit de valeurs » ou « éthique ». En particulier sur l’utilisation de ses avances de frais de mandats. Il est notamment question de « dépenses vestimentaires mensuelles selon une fourchette allant de 1.500 à 2.000 euros » ou « de frais de restaurants très importants », détaille le rapport.

A Mediapart, la juriste a indiqué avoir procédé à des remboursements de frais jugés non-liés à l’exercice du mandat de député. Ce remboursement était intervenu après un contrôle de la déontologue de l’Assemblée nationale pour les années 2018 et 2019. Chaque député, dispose d’une avance de frais de mandat de 5.373 euros mensuels qui s’ajoute à la rémunération des élus.


(SOURCE) : 20minutes.fr SOURCE / LIRE L'ARTICLE COMPLET

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans les commentaires sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à 01topinfo.fr ®