France

[France][bsummary]

Europe

[Europe][bsummary]

International

[International][bsummary]

SCI-TECH

[SCI-TECH][bigposts]

Faits divers

[Faits divers][twocolumns]
Suivez nous sur :

[VIDEO 🔴] « Mon camp, c’est la France ! » : Éric Zemmour répond aux accusations de soumission au Kremlin

Lors de son meeting à Toulon dimanche 6 mars, le candidat de Reconquête!, venant d’accueillir le renfort de Marion Maréchal, s’est défendu contre les accusations de ses adversaires sur ses rapports à Vladimir Poutine, rapporte « Le Monde ».

Image d'illustration

Si l’attraction principale du meeting au Zénith de Toulon, ce dimanche 6 mars, était bien le ralliement de Marion Maréchal, Éric Zemmour a également profité de son discours pour clarifier ses positions sur la guerre en Ukraine. Ciblé depuis plusieurs jours par des critiques de ses adversaires l’accusant d’indulgence envers la Russie et d’être inféodé à Vladimir Poutine, le candidat de Reconquête! s’est défendu.

« Non, je ne suis pas du camp de Poutine car je ne suis d’aucun camp autre que celui de la France. Mon camp, c’est la France, et on me le reproche assez comme ça », a-t-il déclaré, devant près de 8.000 militants ayant fait le déplacement, rapporte Le Monde. Et d’ajouter : « Le général de Gaulle nous l’a appris : toute défense doit être nationale. Nous avons toujours eu des alliés, certes, nous avons toujours voulu des alliances, certes, et nous en aurons toujours. Mais nous n’avons jamais voulu et ne voudrons jamais être inféodés ni à la Russie, ni à la Chine, ni aux États-Unis, ni à personne. »



« Ils ne veulent pas du déracinement »

Au dixième jour de l’invasion russe, Éric Zemmour a également rappelé sa position sur l’accueil de réfugiés ukrainiens, assumant les refuser : « Les politiciens me reprochent la position que j’ai tenue vis-à-vis des réfugiés ukrainiens. Ils la déforment, ils la caricaturent, puis ils me la reprochent. Mais je vais vous dire la vérité, chers amis, les politiciens professionnels ne défendent pas plus le peuple ukrainien qu’ils n’ont défendu le peuple français. » D’après lui, « la plupart des Ukrainiens ne veulent pas devenir des migrants à 2.000 kilomètres de chez eux […]. Ils ne veulent pas du déracinement, ils ne veulent pas aller à l’autre bout du continent […]. Il faut aider les Ukrainiens selon leurs besoins et non selon nos désirs. »

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans les commentaires sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à 01topinfo.fr ®