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L’immigration est « le seul défi qui menace la paix civile » en France, affirme l’ancien directeur de la DGSE

Dans une interview-fleuve accordée au Figaro et publiée jeudi 24 mars, Pierre Brochand s’est longuement exprimé au sujet de l’immigration de masse en France.

Image d'illustration

« A mes yeux, ce bouleversement progressif de la population française, s’il n’est pas l’unique défi auquel nous sommes confrontés, est le seul qui menace directement la paix civile sur notre territoire. » Ces propos ont été tenus par Pierre Brochand, jeudi 24 mars, dans les colonnes du Figaro. A l’occasion de cet entretien, celui qui a été directeur général de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) de 2002 à 2008, mais également ambassadeur de France, notamment en Hongrie et en Israël, s’est longuement exprimé au sujet de l’immigration de masse dans l’Hexagone.

Un événement « hors catégorie »

« Je tiens le type d’immigration que nous subissons depuis un demi-siècle pour un événement hors catégorie, sans précédent dans notre Histoire, a ensuite poursuivi Pierre Brochand, au cours de la même interview. Et, très honnêtement, j’avoue ne pas comprendre comment des esprits libres et éclairés peuvent encore sous-estimer sa gravité. » Des propos qu’il a ensuite étayés en rappelant les raisons pour lesquelles, selon lui, cet enjeu est particulièrement important. « Il suffit d’en énumérer froidement les caractéristiques, pour mesurer l’impact de ce qui nous arrive », a peu après jugé l’ex-directeur de la DGSE, avant de citer le « volume massif des flux », une « vocation de peuplement », une « absence de régulation politique et économique », mais également une « majorité de civilisation extra-européenne et musulmane », ou encore un « esprit de revanche post-colonial » et une « réticence à la mixité », toujours dans les colonnes du Figaro.

« Il vaut mieux prévoir le pire »

Son raisonnement, Pierre Brochand l’a ensuite poursuivi de cette façon, auprès du quotidien national : « Si la coopération entre les civilisations est désirable, elle reste moins probable que leur rivalité, proportionnelle à leurs disparités culturelles, imbrications territoriales et conflits antérieurs. » Après quoi, en guise d’avertissement, il a considéré qu’il n’y avait « aucune raison », aujourd’hui, « que les désastres observés ailleurs ne se reproduisent pas chez nous, pour peu que les mêmes ingrédients y soient réunis ». Et de conclure : « Il vaut mieux prévoir le pire pour avoir une chance de le prévenir. »

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