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Nantes : « les groupes d’extrême-gauche polluent totalement le territoire ! »

Alors que le gouvernement a lancé une procédure pour dissoudre le collectif antifa “Nantes Révoltée”, la situation sur place est loin d’être pacifiée, après des années d’impunité et sous la pression d’élus complaisants face aux violences d’extrême gauche.

Image d'illustration

C’est la magie des périodes électorales. Quelques heures à peine après avoir réclamé la dissolution du groupuscule d’extrême-gauche “Nantes Révoltée”, ce 24 janvier, Christelle Morançais a vu son vœu exaucé par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, devant l’Assemblée nationale. Un « symbole » pour la présidente LR de la région des Pays de la Loire qui souhaite « mettre un grand coup de poing sur la table pour dire stop, car ça a trop duré. Ces extrémistes de gauche sont connus et reconnus. Ils sont présents dans tous les rassemblements qui dégénèrent. Donc maintenant il faut agir », tonne-t-elle auprès de Valeurs actuelles. À l’origine de cette réaction, une manifestation non-déclarée de “Nantes Révoltée” le 21 janvier, officiellement pour la « justice sociale », conclue par un saccage du centre-ville, avec des devantures dégradées et des vitrines brisées.

« Il faut arrêter de se dire que ce n’est pas grave et qu’un assureur va payer les dégâts, poursuit Christelle Morançais. Derrière ces faits, il y a aussi un traumatisme pour les commerçants et les salariés qui travaillent ». Également présentée comme une « descente aux flambeaux » face aux « idées rampantes de l’extrême-droite », la manifestation de quelque 600 personnes a vu se multiplier les insultes contre l’Etat et les policiers. Le tout, en présence du 5e adjoint de la municipalité nantaise, l’écologiste Tristan Riom.

La mairie socialiste, verrouillée par les écologistes

Fier de se joindre à la manifestation antifa, l’élu EELV s’est même fendu d’un tweet célébrant l’événement : « Du monde, de la musique… de quoi interpeller la vie nocturne nantaise sur l’avancée des idées nauséabondes dans notre pays ! ». Après les violences et les dégradations, Tristan Riom supprime son tweet « malvenu » selon lui, tout en continuant de faire porter « un projet de violence et de haine » à « l’extrême-droite ». Une réaction loin d’être à la hauteur […]    ▶ La suite est réservée aux abonnés.

1 commentaire:

Unknown a dit…

Des idées "nauséabondes". La gauche est plus dans le reniflement animal que dans la réflexion.

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