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« Qui outrage la nation ? » : devant les députés, Jean Castex défend les propos de Macron

Au lendemain des propos jugés polémiques du président de la République au sujet des non-vaccinés, Jean Castex a fustigé une “minorité” qui, selon lui, fracture la nation, rapporte BFM TV, mercredi 5 janvier.

Image d'illustration

Il a renoncé à jouer la carte de l’apaisement. Au lendemain des propos d’Emmanuel Macron, qui s’en était pris dans le Parisien aux Français encore non-vaccinés contre le Covid-19, déclenchant ainsi une polémique, Jean Castex a fustigé une « minorité » qui, d’après lui, fracture la nation, relate BFM TV, mercredi 5 janvier. Devant les sénateurs, le Premier ministre a ainsi vilipendé les citoyens qui refusent la vaccination, appuyant de cette façon les propos du chef de l’Etat, qui s’était dit bien décidé à les « emmerder », comme indiqué dans un précédent article. « Qui outrage la nation ? Qui fracture la nation ? Qui conduit les soignants, dans nos urgences, à faire des choix éthiques dramatiques ? Eh bien, c’est une infime minorité », a estimé Jean Castex.

« Responsabiliser nos concitoyens »

Après quoi, le chef du gouvernement a jugé qu’« être citoyen », impliquait également d’« avoir des devoirs ». Raison pour laquelle il a, peu après, insisté sur la nécessité de « responsabiliser nos concitoyens ». En début de séance, Jean Castex a été interpellé par le président des sénateurs LR, Bruno Retailleau, puis par celui du groupe centriste, Hervé Marseille, indique la chaîne d’information. « Aucune urgence sanitaire ne justifie des propos d’une telle brutalité, d’une telle indignité », s’est emporté Bruno Retailleau, avant de fustiger la « violence verbale » du chef de l’Etat. Après quoi, il a ajouté ces quelques mots, pour étayer son point de vue sur la question : « Ce n’est pas un dérapage de plus, c’est un outrage de trop. »

De son côté, Hervé Marseille a tenu à rappeler que « le président [était] normalement celui qui garantit l’union nationale, […] l’homme du rassemblement ». Ensuite, il a demandé à Jean Castex si la politique du gouvernement avait évolué, en passant du triptyque « tester, tracer, isoler », au fait d’« ennuyer les Français ». Alors même que la polémique a enflammé l’Assemblée nationale, mardi soir, provoquant la suspension de l’examen du texte sur le passe vaccinal, Jean Castex a enjoint à reprendre « la marche des choses », indique BFM TV. Et le Premier ministre de conclure : « Ce texte est un outil majeur pour lutter contre cette pandémie qui galope ».

1 commentaire:

sucette a dit…

ce gouvernement ne sait pas faire autre chose que de partager et déchirer l'ensemble du territoire sans oublier les DOM et les TOM, une catastrophe, il faut les virer à coup de pieds aux culs

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