France

[France][bsummary]

Europe

[Europe][bsummary]

International

[International][bsummary]

SCI-TECH

[SCI-TECH][bigposts]

Faits divers

[Faits divers][twocolumns]
Suivez nous sur :

Le déplacement de Macron dans les Alpes-Maritimes boycotté par Eric Ciotti

Le député des Alpes-Maritimes, qui estime qu’il s’agit d’un « déplacement de campagne », lancera au même moment le « comité de soutien » départemental à Valérie Pécresse, rapporte le JDD.

Image d'illustration

Il eût sans doute été vexant pour le conseiller « autorité » de Valérie Pécresse d’assister à une visite d’Emmanuel Macron, lundi 10 janvier, dans son département, les Alpes-Maritimes, sur le thème de la « sécurité ». Arguant qu’il s’agit d’un « déplacement de campagne », le finaliste du Congrès des Républicains (LR) a pris la décision de boycotter la visite du chef de l’Etat, relate le JDD. Après une étape à Nice, où il dévoilera ses projets pour les forces de l’ordre, Emmanuel Macron doit se rendre dans la vallée de la Roya, ravagée par la tempête Alex en 2020. Éric Ciotti lancera au même moment le « comité de soutien » départemental à la candidate de LR, Valérie Pécresse, rapporte l’hebdomadaire.

Revenant sur l’envie assumée d’Emmanuel Macron d’« emmerder les non-vaccinés », le député des Alpes-Maritimes a regretté que cette attitude ne soit pas celle d’un président, mais « celle d’un candidat volontairement clivant. » Emmanuel Macron avait déclaré, mardi 4 janvier, dans les colonnes du Parisien : « Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu’au bout. C’est ça, la stratégie. » Et le président de la République de préciser sa pensée : « Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen. » Vendredi 7 janvier, le chef de l’Etat a dit assumer « totalement » ses propos-chocs sur les non-vaccinés, rappelle le JDD. « La vraie fracture du pays est là, quand certains font de leur liberté, qui devient une irresponsabilité, un slogan […] Il était de ma responsabilité de sonner un peu l’alarme », a-t-il estimé lors d’une conférence de presse à l’Elysée.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans les commentaires sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à 01topinfo.fr ®