France

[France][bsummary]

Europe

[Europe][bsummary]

International

[International][bsummary]

SCI-TECH

[SCI-TECH][bigposts]

Faits divers

[Faits divers][twocolumns]
Suivez nous sur :

[VIDEO] Devant le Bataclan, Zemmour accuse Hollande de n’avoir « pas protégé les Français ! »

En déplacement à Bordeaux, puis dans la soirée devant le Bataclan, le candidat non encore déclaré à la présidentielle a sévèrement taclé l’ex-président. Ce dernier a témoigné mercredi au procès des attentats du 13 Novembre.

Image d'illustration

C’est une nouvelle polémique signée Éric Zemmour. Deux jours après le témoignage de François Hollande au procès des attentats du 13 novembre 2015, et alors que la France rend hommage ce samedi aux victimes, le polémiste a sévèrement attaqué l’ancien président vendredi soir lors d’un déplacement à Bordeaux. Il s’est ensuite rendu dans la soirée devant le Bataclan, à Paris, où il a réitéré ses propos à l’encontre de l’ancien président, faisant fi de l’union sacrée en ce 6e anniversaire des attentats du 13 Novembre.

« L’ancien président de la République a dit lui-même qu’il savait que des terroristes seraient infiltrés parmi les migrants et il n’a pas arrêté le flot des migrants (...). Donc François Hollande n’a pas protégé les Français et a pris une décision criminelle de laisser les frontières ouvertes », a affirmé le polémiste devant la salle de concert où 90 personnes ont été tuées.



Plus tôt dans la journée, Eric Zemmour s’en était déjà pris à François Hollande : « Il savait qu’il y aurait des terroristes mais il n’a rien fait. Il était au courant du danger et il a préféré que des Français meurent plutôt que d’empêcher des migrants d’entrer en France », a déclaré à la tribune le candidat non encore déclaré à la présidentielle.



Des propos « lamentables » et « indignes » pour les victimes, « insultants » pour François Hollande et « faux », a réagi Juliette Méadel, l’ex-secrétaire d’Etat chargée de l’aide aux victimes.



Interrogé par BFM, François Hollande a lui commenté : « Je demande que chacun soit à la hauteur de ce que ces parties civiles, ces victimes expriment, non pas un besoin de vengeance mais un besoin de justice, de vérité, de clareté. Le reste, c’est de la surenchère, de la polémique, même de l’outrance ».

« On nous a fait la guerre, nous avons répondu » : entendu comme témoin au procès sous haute sécurité des attentats du 13 novembre 2015, l’ancien président François Hollande a justifié mercredi sa politique étrangère au Moyen-Orient et répondu aux polémiques.

« Nous ne savions pas où, quand et comment ils allaient frapper »

Droit à la barre de la cour d’assises spéciale de Paris, costume sombre sur chemise blanche, François Hollande a raconté son 13-Novembre et explicité les décisions prises « lors de cette nuit funeste », mais aussi celles des mois qui l’ont précédée et suivie. « Hélas, nous n’avions pas l’information qui aurait été décisive pour empêcher les attentats ».

Depuis les attaques de janvier 2015, « chaque jour nous étions sous la menace. Nous savions qu’il y avait des opérations qui se préparaient, des individus qui se mêlaient aux flux de réfugiés, des chefs en Syrie. Nous savions tout cela », développe François Hollande. « Mais nous ne savions pas où, quand et comment ils allaient frapper », insiste-t-il à plusieurs reprises. « On nous a fait la guerre et nous avons répondu », martèle François Hollande.

L’Etat islamique « nous a frappés non pas pour nos modes d’action à l’étranger, mais pour nos modes de vie ici-même », souligne encore François Hollande, pour qui « la démocratie sera toujours plus forte que la barbarie ».


(SOURCE) : Le Parisien SOURCE / LIRE L'ARTICLE COMPLET

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans les commentaires sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à 01topinfo.fr ®