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Procès du 13 Novembre : « Nous savions que dans le flux de réfugiés, il y avait des terroristes ! », reconnaît François Hollande

Le président en fonction lors des attaques de Paris et Saint-Denis a témoigné, mercredi 10 novembre, lors du procès du 13-Novembre relate Le Figaro.

Image d'illustration

François Hollande a été entendu, mercredi 10 novembre, par la Cour d’assises spéciale dans le cadre du procès du 13-Novembre. L’ancien président de la République a expliqué sa gestion de l’attentat, mais aussi les décisions prises en amont et en aval de l’attaque, en France et à l’étranger, détaille Le Figaro. Il a reconnu que les risques étaient connus et a affirmé avoir l’assurance d’avoir fait tout ce qui pouvait l’être. « Je sais que la lutte contre le terrorisme peut toujours être améliorée. Rien ne pourra convenir aux parties civiles, j’en conviens. Mais sachez bien que tous les services ont fait tout ce qu’ils pouvaient », a-t-il déclaré.

Des attaques impossibles à empêcher

Sur la possibilité d’éviter ces attentats, François Hollande a déclaré que la France était « chaque jour sous la menace. Le 12 [novembre 2015] comme le 14 ». Et de reconnaître : « Nous savions qu’il y avait des opérations qui se préparaient, que dans le flux de réfugiés, il y avait des terroristes », relate une journaliste de 20 Minutes. Il a également précisé que « la veille ou l’avant-veille, nous avions connaissance des individus, mais nous ne pouvions imaginer qu’ils allaient agir ». L’ancien chef de l’Etat a cependant assuré que « nous n’avions pas l’information qui aurait pu empêcher les attentats du 13 novembre ».



François Hollande est également revenu sur l’absence d’intervention des militaires de Sentinelle qui se trouvaient près du Bataclan au début de l’attaque. « Ce n’est pas à une unité Sentinelle de mener une opération de cette importance, ce sont des opérations délicates », a-t-il jugé. C’est finalement un équipage de la BAC qui avait pénétré en premier dans le Bataclan, puis la BRI. Quant à sa réaction sur le plan international, « si j’étais aux affaires, et que cela arrivait à nouveau, je ferais exactement la même chose en Syrie et en Irak. », a-t-il affirmé. Et de rappeler un concept cher à la gauche : « Les plus grandes victimes du terrorisme islamiste sont les musulmans ».

2 commentaires:

Unknown a dit…

Quel mauvais personnage politique...On devrait l'inculper pour haute trahison!

Unknown a dit…

L'essentiel étant de ne pas être soupçonné d'islamophobie. Par qui, au fait?

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