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[VIDEO] «J’ai ma conscience pour moi» : Agnès Buzyn confiante malgré sa mise en examen

Mise en examen en septembre pour mise à danger d'autrui, l'ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a confiance et veut «rétablir la vérité des faits» alors que les auditions de la Cour de Justice de la République vont bientôt commencer.

Image d'illustration

Par : RT

Invitée sur le plateau de CNews le 10 octobre, l'ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn s'est voulue confiante face à  sa mise en examen pour «mise en danger de la vie d’autrui» par la Cour de Justice de la République (CJR).


Alors que les auditions de la CJR s'apprêtent à démarrer, l'ancienne ministre a affirmé à Jean-Pierre Elkabbach qu'il ne faisait «aucun doute que la vérité ser[ait] connue». «Je suis en train de témoigner régulièrement, d’être auditionnée par des juges», a-t-elle assuré.

«Nous nous sentions quelque part invulnérables», concède Buzyn

«Pour quelqu'un comme moi qui a dédié sa vie à la santé des gens, imaginer que j'ai pu faire volontairement un acte qui nuirait à la santé de qui que ce soit est douloureux», a-t-elle déclaré en précisant vivre désormais «sous protection policière».

«C’est la vie et je n’en veux à personne, parce que je pense que cette pandémie a été un vrai choc pour les Français. Nous nous sentions quelque part invulnérables, comme tous les pays occidentaux, avec des systèmes de santé solides, donc je comprends ce phénomène de peur, mais je pense que la vérité viendra», a souligné Agnès Buzyn.

Si le portefeuille de la Santé représentait pour elle «l'aboutissement de toute [sa] carrière professionnelle», sa mise en examen semble avoir balayé son auréole passée. «J’ai les nerfs car j’ai ma conscience pour moi», a-t-elle lancé.

Agnès Buzyn est la première personnalité à être mise en examen au sujet de la gestion gouvernementale de l'épidémie de Covid-19. Elle a toutefois été placée sous le statut plus favorable de témoin assisté pour «abstention volontaire de combattre un sinistre». Pour rappel, elle avait démissionné en février 2020, alors que l'épidémie de Covid-19 se répandait en France et qu'elle se lançait dans la campagne municipale à Paris. Elle avait ensuite rejoint le cabinet du directeur général de l'OMS en janvier 2021.



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