La « théorie critique de la race » enseigne que ce n’est pas bien d’être blanc et que vous devez en avoir honte
Walmart (le Auchan américain) a fait suivre à plus de 1 000 employés une formation à la « théorie de la race critique » qui enseigne que tous les blancs sont coupables de « pensée suprémaciste » et de « supériorité raciale intériorisée ».
Par : JEAN-PATRICK GRUMBERG pour Dreuz.info
Les documents envoyés par un lanceur d’alerte au journaliste Christopher Rufo du City Journal (1), révèlent que Walmart a lancé son programme, qui repose sur les principes fondamentaux de la théorie critique de la race que je détaille ci-dessous (accrochez vos ceintures) en partenariat avec le Racial Equity Institute. Et ce, évidemment, afin de signaler sa vertu et espérer être épargné par les fascistes.
SCOOP: @Walmart has launched a critical race theory training program that denounces the United States as a "white supremacy system" and teaches white hourly-wage workers that they are guilty of "white supremacy thinking" and "internalized racial superiority."
— Christopher F. Rufo ⚔️ (@realchrisrufo) October 14, 2021
Buckle up.🧵
L’entreprise a rendu le programme obligatoire pour les cadres, et « recommandé » pour les employés à temps partiel.
L’enseignement de la Théorie de la race critique en 8 points
Les blancs sont coupables de « supériorité raciale intériorisée », et ils « doivent accepter leur culpabilité et leur honte »
- 1• Les États-Unis sont un « système de suprématie blanche », créé par des Européens blancs « dans le but d’attribuer et de maintenir l’accès de la peau blanche au pouvoir et aux privilèges ».
- 2• Les Blancs sont coupables de « privilège blanc » et de « supériorité raciale intériorisée ».
- 3• Les blancs croient à tort que « leur confort, leur richesse, leurs privilèges et leurs succès ont été gagnés par leurs mérites et leur travail acharné » alors qu’en réalité, « ce n’est que grâce aux bienfaits du racisme systémique. »
- 4• La « culture de la suprématie blanche » se définit par plusieurs caractéristiques coupables, notamment « l’individualisme », « l’objectivité », « le paternalisme », « la défensive », « l’accumulation de pouvoir », « le droit au confort » et « le culte de l’écrit ».
- 5• Les « discussions sur le conditionnement raciste » devraient avoir lieu dans des groupes ségrégués sur le plan racial, car « les personnes de couleur et les personnes blanches ont leur propre travail à faire pour comprendre et traiter le racisme ».
- 6• Les personnes appartenant à des minorités raciales souffrent d’une « oppression raciste construite » et d’une « infériorité raciale intériorisée » et sont confrontées à des pensées internes telles que « nous pensons qu’il y a quelque chose de mal à être une personne de couleur », « nous avons une mauvaise estime de nous-mêmes », « nous avons des attentes réduites », « nous avons des choix très limités » et « nous avons un sentiment de possibilité limitée ».
- 7• Cette pensée interne néfaste les oblige à adhérer aux « mythes promus par le système raciste », et à développer des sentiments de « haine de soi », de « colère », de « rage » et d' »ethnocentrisme », et elles sont contraintes d' »oublier », de « mentir » et d' »arrêter de ressentir » pour survivre.
- 8• La solution consiste pour les Blancs à travailler au « développement antiraciste des Blancs » et à accepter leur « culpabilité et leur honte » et le fait que « les Blancs n’ont pas raison ». En fin de compte, ils devraient travailler à une « action collective » où « le blanc peut faire le bien ».
Le journaliste Rufo n’a pas manqué de faire remarquer à Walmart que l’ensemble des neuf membres de la haute direction, à l’exception du chef de la technologie Suresh Kumar, sont blancs.
Mais en France, vous connaissez ce type d’extrême hypocrisie poussée jusqu’à la nausée – je pense à Libération, qui dénonce constamment le manque de diversité et se pose en donneur de leçons, et dont la photo de l’équipe de rédaction révélait la surprenante absence d’introspection de l’esprit gauchiste : aucun noir, pas ou peu de musulmans ou d’asiatiques dans leur équipe :
Puissance de la Cancel Culture
En conclusion, si vous vous demandez comment un géant comme Walmart (5300 hypermarchés aux Etats-Unis, 2500 au Mexique, 630 au Royaume-Uni et 430 en Chine) peut avoir peur d’une poignée d’attardés boutonneux de Twitter qui vivent chez leur maman, songez que les Rolling Stones viennent de céder à la Cancel Culture, et ont retiré leur morceau le plus célèbre de leur répertoire, Brown Sugar, et se sont engagés à ne plus le chanter dans leurs concerts.
Oui, les Rolling Stones, le géantissime groupe de pop musique, la légende, qui domine la scène musicale mondiale depuis près de 60 ans, a gagné près d’un milliard et demi de dollars, dont le leader, Mick Jagger, pèse 500 millions de dollars, qui va donner 5 concerts en 2021, et n’a plus rien à prouver au monde – les Rolling Stones ont cédé à une poignée de fascistes boutonneux anonymes dont la puissance n’était jamais apparue si destructrice.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
(SOURCE) : dreuz.info
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