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« Ce sont des migrants ! » A Brest, tout le monde sait qui harcèle et agresse de jeunes femmes

« Ce sont des migrants. Il faut le dire ». Notre contact brestois, bien placé dans la vie économique brestoise, est formel, et rejoint les sources policières, et les témoignages accumulés ces dernières années au sujet d’exactions dans le centre-ville de Brest, visant des jeunes femmes, parfois même des adolescentes.

Image d'illustration

Par : YV / [cc] Breizh-info.com

Derrière le terme migrant, comprendre « Immigré Extra-européen » car il est difficile de savoir s’il s’agit d’individus fraichement débarqués ou installés depuis quelques années dans la cité. Mais les faits sont là. Mardi 22 septembre à nouveau, en plein après midi, une jeune femme de 16 ans aurait été agressée sexuellement à côté de la rue Jean Jaurès, avant de pouvoir s’échapper. Trois individus ont été interpellés dans la foulée la semaine suivante mais relâchés, faute de preuve concrètes (la police lance un appel à témoins à cette occasion, si vous avez des informations appelez le 17).

Pour la presse mainstream, il ne s’agirait que « de jeunes hommes ». Pour les témoins de ces exactions, ce n’est pas assez. « Ce ne sont pas des jeunes hommes, mais des migrants, qui n’ont ni les mêmes codes culturels ni les mêmes limites que nous, et qui vont à la sortie du lycée notamment, ou dans les rues du centre ville cherchant à peloter des jeunes filles » nous confie l’un d’entre eux. « Un jeune de type arabe m’a attrapé par le bras, dans une rue à côté de Jean Jaurès, et a commencé à me caresser les fesses » nous indique Lina, une jeune femme, étudiante infirmière. « J’ai crié, des gens sont sortis, il est parti. Mais des témoignages comme cela, j’en ai d’autres, de copines qui y sont passées aussi »

Beaucoup de ces agressions se déroulent aussi du côté de la place de la Liberté ou vers le centre commercial de Coat ar Guéven. Nous avions déjà fait un papier à ce sujet.

Récemment, à Brest, un homme originaire de Conakry (Guinée) était jugé pour avoir blessé trois victimes au couteau en bas de la rue de Siam, tout en embrassant de force une une jeune femme.

Impunité de ces individus ? Du côté du commissariat de police Colbert à Brest, la direction semble faire pression sur sa hiérarchie pour qu’elle se taise. En off cependant, certains policiers sont bien conscients du problème et du « qui » est derrière ce problème. « Dans 95% des cas, les personnes interpellées pour ce genre d’affaire ne sont pas d’ici ou arrivées fraichement » nous dit l’un d’entre eux. « Certains se réfugient derrière une minorité fictive quand ils sont interpellés, mais ça marche parfois. Et pour d’autres, il y a des rappels à la loi, quelques petites peines…mais très souvent rien du tout faute de preuve. On ne peut pas faire grand chose ».

En attendant, le ras le bol monte chez les victimes. Comme chez les commerçants fréquemment importunés par des bandes dans le centre-ville brestois notamment. La mairie elle, a embauché des « médiateurs urbains » (la catégorie socio-professionnelle des élus gauchistes qui ne veulent pas voir la réalité de la délinquance, et qui ont inventé les successeurs des « grands frères », payés pour contribuer à un semblant de paix sociale). Et en promet d’autres, puisque c’est le dada de Yohann Nédélec, adjoint à la sécurité à qui beaucoup de brestois reprochent un laxisme à toute épreuve (difficile de se défaire de son idéologie gauchisante). François Cuillandre, le maire, reporte la responsabilité sur les autorités nationales, police et justice, qui « doivent faire leur travail » selon lui.

L’atmosphère est pesant en centre-ville. « Certains migrants sont pris en charge par des associations et cherchent à s’insérer » nous dit un commerçant. « Mais la plupart fuient les associations. Ils ne sont pas ici pour s’intégrer dans notre société, ils sont ici pour gagner de l’argent, et imposer leurs codes culturels à tous. Ils n’ont rien à faire ici »?

Une réunion a eu lieu jeudi 30 septembre entre policiers, élus, préfecture et quelques commerçants. Une réunion où « chacun vide son sac », mais qui ne devrait pas servir à grand chose, comme d’habitude avec ce genre de réunions, puisque le mot d’ordre semble être systématiquement de ne jamais nommer l’ennemi, ni de traiter le problème, connu de tous, à la racine.

« Nous ce que nous voulons, c’est que ces individus soient expulsés de la ville, le reste, cela ne nous regarde pas, c’est de la compétence de l’Etat » nous indique un commerçant, habitué depuis des années à voir des « bandes de tunisiens et d’algériens s’affronter pour les points de deals » et désormais quotidiennement témoin « des agissements d’autres migrants ».

Les élus eux, continuent à être réélus après chaque élection, et à étendre leur pouvoir et leur influence avec la pieuvre métropolitaine. Au grand dam des commerçants, des étudiants, mais aussi des familles qui, pour beaucoup, ne peuvent même pas sanctionner d’un vote ces derniers, puisqu’ils n’habitent pas ou ne sont pas électeurs dans ces métropoles qui s’agrandissent partout en France, à la manière d’une tumeur responsable de la destruction progressive d’un « vivre ensemble » qui n’existe plus.

Qui traitera le problème à la racine ?

YV



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