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[VIDEO] Nantes : « A mi-chemin entre le karting et le jeu vidéo », Battlekart débarque en France

Déjà présent en Belgique et en Allemagne, ce concept de loisirs indoor utilisant la réalité augmentée vient d’ouvrir deux centres à Tours et à Nantes

Image d'illustration

Par : Frédéric Brenon / 20minutes.fr

L’ESSENTIEL

  1. Battlekart se joue en salle aux commandes d’un kart électrique. Outre une course évoquant Mario Kart, quatre modes de jeu sont proposés.
  2. L’activité, qui plaira beaucoup aux amateurs de jeux vidéo, est accessible à tous les âges, dès 1,45 m.

Imaginez un immense entrepôt vide, plongé dans une pénombre seulement brisée par des animations lumineuses projetées au sol. Et au milieu de cette ambiance évoquant tantôt une discothèque, tantôt une fresque vivante, des véhicules multipliant les allées et venues à la recherche de points permettant d’augmenter leur score. C’est l’étonnant décor dans lequel évoluent les clients de Battlekart, nouveau concept de loisirs débarqué en France depuis le début de l'été.

Un premier site a ouvert ses portes à Tours courant juin. Un deuxième vient tout juste de l'imiter à Saint-Sébastien-sur-Loire, en banlieue nantaise. « On est à mi-chemin entre le karting et le jeu vidéo, évalue Anne, qui compte parmi les premières clientes la semaine dernière. C’est très très ludique. Je ne m’attendais pas à ça. »

Marquer des buts, dégommer des virus, récolter des bonus…

L’activité propose des parties de quinze minutes à choisir parmi cinq modes de jeu. Le joueur prend alors les commandes d’un kart électrique, accélère ou freine quand il le souhaite, et tente d’accomplir sa mission à l’aide des éléments virtuels projetés autour de lui : aller le plus vite possible sur un circuit, marquer des buts, dégommer des virus mutants, récolter des bonus, colorer un maximum de cases… En solo ou en équipe.

« On utilise une technologie brevetée basée sur la réalité augmentée. La salle est équipée de 38 projecteurs et 70 capteurs pour permettre aux karts d’interagir. C’est très pointu », explique Tanguy Menssion, responsable de Battlekart Nantes, qui a investi 500.000 euros en équipements. « L’objectif est d’offrir une expérience de jeu inédite, avec des sensations mais sans le côté compétition, poursuit-il. C’est du récréatif pur. C’est d’ailleurs accessible à tout le monde, quel que soit son âge, à partir du moment où on mesure 1,45 m [pour toucher les pédales]. »




« On se sent tout de suite en sécurité »

La technologie réduit aussi au maximum le risque de collisions et de sorties de piste, qui peuvent parfois effrayer les novices en karting. A tel point que le casque n’est pas nécessaire. « La vitesse est bridée, indique Tanguy Menssion. Si deux karts se rapprochent trop l’un de l’autre, ils vont automatiquement ralentir. Si un kart sort de la zone de jeu, la partie est aussitôt suspendue. »

Lola, venue tester Battlekart en famille, apprécie cet aspect. « On est à bord d’un kart mais on se sent tout de suite en sécurité. Et puis il n’y a pas d’odeur, pas de bruit. C’est très agréable. » Félix, lui, est bluffé par la diversité des modes de jeu. « On peut envoyer des missiles, récupérer des objets, collaborer en équipe. C’est plus marrant qu’un karting traditionnel », considère-t-il. Plus âgé, Philippe a préféré le mode course, qui évoque naturellement Mario Kart. « C’est une très bonne expérience. On reviendra je pense. »

« Un peu cher pour un quart d’heure »

Au chapitre des critiques : les instructions, jugées parfois « complexes », le « manque de vitesse » pour les amateurs d’adrénaline, et, surtout, le tarif (22 euros la première partie, 18 euros la suivante). « C’est un peu cher pour un quart d’heure je trouve. Le temps d’apprivoiser le kart et le jeu, ça se termine vite », reproche un utilisateur. « C’est innovant, se défend Tanguy Menssion. Aucun autre lieu ne propose ce type d’activité. » A en croire le manager, la fréquentation serait déjà « encourageante ». « On a aussi des demandes d’entreprises ou pour des enterrements de vie de garçon ou de jeune fille », ajoute-t-il.

Né en Belgique en 2015, Battlekart dispose à ce jour de neuf centres franchisés en Europe.


(SOURCE) : 20minutes.fr LIRE L'ARTICLE COMPLET



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