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Rennes : Le RN dénonce les ateliers « en non mixité » et les subventions publiques au festival néo-féministe « Dangereuses Lectrices »

Ces 25 et 26 septembre s’est tenu à Rennes un drôle de festival, ultra confidentiel, mais subventionné par la Région Bretagne. « Dangereuses Lectrices », c’est son nom, se présente comme « un festival de littérature féministe ».

Image d'illustration

Par : [cc] Breizh-info.com

Voici comment il se présente :

Porté par une association loi 1901, le festival Dangereuses Lectrices se veut un lieu de promotion des écrits et paroles féministes.

Expression profondément intime, l’écriture, et son corollaire la lecture, n’en sont pas moins des manières d’être au monde, d’en absorber les remous et les bouleversements et de les analyser. À l’aube d’un moment que nous croyons charnière dans la prise en compte de la parole des femmes, nous avons voulu créer un espace autour des écrits de femmes, des écrits féministes, à travers leurs auteur·ice·s et leurs lecteur·ice·s, et imaginer un temps de dialogue.

Le festival Dangereuses Lectrices est résolument féministe, et croit en l’écriture et la lecture comme deux activités fondamentalement émancipatrices pour tou·te·s. Le festival porte également une revendication à l’intersectionnalité des luttes et aura donc une attention toute particulière à ce que les personnes L.G.B.T., racisées, handicapées, économiquement défavorisées soient représentées, tant dans sa programmation qu’au travers d’une politique d’accès adaptée.

Néanmoins, lorsque l’on y creuse un peu, on se rend compte qu’il s’agit surtout d’un festival d’extrême gauche, militant LGBTQ (etc), qui organise par ailleurs des ateliers au sein desquels la présence d’hommes est interdite.

Pourquoi pas, après tout, hormis que les organisateurs sont souvent les premiers à hurler aux discriminations en tout genre…sauf qu’ici, il s’agit d’un festival subventionné par la Région Bretagne, et par Rennes Métropole, c’est à dire avec vos impôts.

En 2020, la mairie de Rennes a ainsi accordé 1500 euros à l’association organisatrice (voir page 9), le Comité de Lecture Intersectionnel et Turbulent (CLIT) pour l’organisation du festival de littérature féministe « Dangereuses lectrices » prévu les 26 et 27 septembre 2020 aux Ateliers du Vent. Lire une interview de l’association en 2019, révélatrice du fond des choses au sein de cette association.

Sur le site de la région Bretagne qui permet (il faut néanmoins ramer pour le trouver, c’est anormal émanant d’une collectivité publique) de découvrir les subventions allouées aux associations, on découvre que le CLIT a touché des subventions en 2019 2020 et 2021 à hauteur de 1000 euros, 1500 euros puis 2500 euros cette année.

Une subvention qui ne passe pas, pour le RN de Gilles Pennelle, qui a adressé un communiqué à la presse en ce sens,

Voici ce qu’indique le RN :

Le festival néo-féministe « Dangereuses Lectrices » a lieu ces 25 et 26 septembre à Rennes. Après avoir invité l’an dernier la militante racialiste Rokhaya Diallo pour son podcast « Kiffe ta race ! », le festival organise cette année des ateliers d’écriture et de menuiserie « en non mixité sans hommes cisgenres », réservés « aux femmes et personnes trans/non-binaires ».

Une garderie pour enfants animée par la « Biblio J Queer/féministe » est également au programme avec en prime la promotion du slogan anti-police « ACAB » et de l’extrême gauche radicale sur des ouvrages destinés aux enfants…

Cette année comme en 2020, la Région Bretagne a financé l’association « Le CLIT » pour l’organisation de ce festival. PS, LREM, LR…tous ont voté ces subventions, seuls les Conseillers régionaux du Rassemblement National ont voté contre !

Le Rassemblement National condamne avec la plus grande fermeté cette utilisation scandaleuse de l’argent public et la dérive idéologique inquiétante de la Région Bretagne. Les contribuables bretons n’ont pas à financer la haine anti-police, le communautarisme et les délires séparatistes de groupuscules d’extrême-gauche !

Alors, dangereuses ces lectrices militantes ? Sans doute pas car ultra minoritaires et bénéficiant simplement d’une complicité médiatique et politique. Néanmoins, cela pose tout de même la question de l’utilisation de l’argent public, et du contrôle qui en est fait, visiblement très mal, par les collectivités qui en ont la charge.

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